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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 14:12

sanstitre-copie-2Samedi 11 octobre, les candidatures aux législatives ont été adoptées par la convention du PS à une très large majorité des délégués présents. Ci-dessous les résultats seinomarins. Le PS présentera en juin un visage plus représentatif de la France d’aujourd’hui. Le nombre de députées PS pourrait doubler et ceux de la diversité de la société française aspirer à émerger alors qu’ils sont sous-représentés.

 

Les socialistes investissaient leurs candidats pour les législatives en convention nationale au CNIT de La Défense pour ratifier les candidatures socialistes aux législatives. Sur les 174 délégués présents, 164 ont approuvé les candidatures retenues, 6 ont voté contre et 4 se sont abstenus selon l’annonce officielle faite par Pascale Boistard, membre de la commission électorale. Ainsi, au total 420 candidats ont été désignés. Cela validait les choix faits dans près de 430 circonscriptions sur 577 que compte l’Assemblée nationale.

 

Une grosse centaine de candidatures sont réservées aux partenaires de la majorité, une soixantaine pour Europe Ecologie - Les Verts (EELV), 35 pour le Parti radical de gauche (PRG) ainsi qu’une dizaine pour d’autres partenaires. Les 1er et 2 décembre derniers, les militants avaient voté pour désigner leurs candidats dans la plupart des circonscriptions et dans seulement une trentaine, c’est le Bureau national qui a tranché directement notamment pour les seize circonscriptions des Bouches-du-Rhône et les neuf de l’Hérault.

 

L’équilibre a été respecté et les équations résolues.

 

Entre parité, diversité et expérience car, rappelons-le, un parti promeut des candidats dans le but qu’ils gagnent. Comme à son habitude, le PS est un des rares partis qui atteint l’objectif ultime de la parité avec 50% de candidates femmes. Ainsi, de 49 sièges PS à l’Assemblée elles pourraient en occuper entre 80 à 90 à l’issue du scrutin.

 

La diversité, faux critère en vérité, n’en est pas encore totalement un objectif atteint mais déjà 25 à 26 candidats issus de l’immigration ou de l’outre-mer, pourraient ramener un chiffre nul à près d’une dizaine de sièges victorieux. Quelques circonscriptions sont des cas ”gelés” pour raisons politiques face à des situations d’ordre local ou national. Ils seront tranchés lors d’un bureau national en janvier.

 

Source : PS76

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